Hélène Aguilar,
Le sens du beau
→ Prospectiviste et consultante (le beau horizon 2040)
→ Créatrice de l’écosystème média Où est le beau ?
→ Présidente de l’Institut pour un Design Soutenable
→ Commissaire de la Biennale Amour Vivant.
Je née brune avec une coupe punk à Nîmes.
Comme Ganesh, j’arrive sur terre avec une une défense cassée.
Mon frère jumeau ne survit pas in utero.
Aujourd’hui, je sais que cette étape a amplifié mon amour pour la vie et ses mystères.
Je grandis et deviens un pur produit de mon époque : bien éduquée, bien câblée, bien formatée.
Une classe prépa Sciences Po, une licence en finance et un Master 2 en droit de la distribution et propriété intellectuelle, me voilà toute fraîche à m’épanouir dans le monde de l’entreprise.
La vie m’amène jusqu’à l’industrie pharmaceutique, un univers dont j’ignorais tout mais qui me permet à la fois de savoir que le droit mène à tout (maman tu avais raison…) et qu’au quotidien, le monde de l’entreprise n’est pas fait pour moi.
Je quitte une situation confortable, toute tracée, en inventant un faux projet entrepreunarial (maintenant je peux l’avouer ;)). Mon unique intuition à ce moment là : quitter le tracé pour retrouver du sens. Un prétexte pour me reconnecter avec le sens de ma vie.
Cette bascule professionnelle est le début de ma véritable aventure.
Voici ce que je poste à l’époque sur mon compte Instagram :
À ce moment là, les questionnements bouillonnent :
Quel feu vais-je pouvoir nourrir qui ne cessera jamais ?
Pourquoi suis-je si inadaptée à ce monde ?
Pourquoi ai-je cette intuition que le beau est si central pour moi ?
6 mois et un accompagnement par le programme IFM Entrepreneurs plus tard, me voilà à oser prendre au sérieux mon amour pour le beau… et lancer sur les ondes le premier podcast qui parle de notre relation sensible aux objets, aux intérieurs, à l’architecture…bref à mon « beau » de l’époque.
Autour de moi ça dit :
« Tu es folle, on ne lance pas un podcast sur le beau ! Le beau ça se montre, ça se touche…. Monte une chaîne Youtube, sinon ça ne va jamais marcher. »
Fin 2019, j’avais interviewé plus de 40 invités, les écoutes explosaient et je signais un partenariat avec Elle Décoration et mon premier sponsor : Plendi by VINCI Construction.
À cette époque, même sensible, je reste un pur produit de mon époque : bien éduquée, bien câblée, bien formatée.
Patricia Urquolia
Rosana Orlandi
Big Bang personnel
Peut-être que vous vous en souviendrez, mais le 13 mars 2019, un gros bug touche Facebook, Instagram et WhatsApp et durant 14 heures, les utilisateurs du monde entier sont privés d’accès. L’une des plus longues pannes jamais enregistrées pour ces plateformes, une faille qui révèle, brutalement, notre dépendance.
Ce même jour, je vis moi aussi un bug : je suis à Beaubourg et j’entre dans l’exposition Mutations / Créations 3 – La Fabrique du vivant au Centre Pompidou
Et là, quelque chose bascule.
Pas un choc, mais une évidente révélation.
Un glissement profond, presque silencieux.
Mon rapport à la matière se fissure. Je perds mes repères esthétiques comme on perd une langue maternelle — sans bruit, mais avec la sensation étrange d’avoir cru, pendant longtemps, que le beau était hors scope des sujets du monde.
Subitement, en tant qu’esthète, je comprends que ce que j’aimais, que ce que je trouvais « beau » - les formes, les textures, les objets - contribuait, d’engendrement en engendrement, à l’appauvrissement du vivant tout entier.
Je perçois que le beau des créations (humaines) est en train de mettre à mal le beau des origines.
Et je n’avais jamais vu ni analyser la situation écologique de notre planète sous cet angle avant.
Personne ne m’avait appris que nous avions un problème avec le beau créé par l’homme.
Et oui… le regard, lui aussi, est culturel.
Mais dans cette faille, une brèche s’ouvre.
Je comprends qu’un autre territoire du beau existe. Que le beau des créations humaines est à la fois le poison et l’antidote.
Il existe un beau des créations qui n’épuise pas, mais qui prolonge la vie.
Ce beau-là, je le vois pour la première fois. Il est là, devant moi, dans cette exposition.
Pas comme une œuvre isolée, mais comme une proposition pour tout repenser.
Sans le savoir encore, je viens de changer d’axe.
Cette exposition ne m’a pas seulement touchée.
Elle m’a réorientée.
Comment avais-je pu en arriver là ?
J’ignorais la réalité des matériaux. Les lois du vivant. Les impacts systémiques.
Je suis dans un chaos…intérieurement tout s’écroule par rapport au beau.
Quelques mois après, c’est au tour de François Champsaur d’enfoncer le clou avec son exposition « Reprise des discussions naturelle » : l’atmosphère d’un espace avec des matériaux vivants n’est aucunement comparable à l’atmosphère classique des espaces « designé » par les plus grands de la hype parisienne et internationale.
© Best Archi Design
Ma lecture de la matière change du tout au tout… et me voilà désormais mal à l’aise et décontenancée dès que j’ouvre Instagram, que je vais à une expo, dans une foire, un salon de design…
Tout cette beauté, tout ce « beau des créations » est insoutenable pour nous et la planète… et personne ne s’en rend compte… parce que tout simplement personne ne sait lire la matière qui est mise en oeuvre dans notre quotidien. Autour de nous. En permanence.
Notre monde est design. Tout est pensé, dessiné par quelqu’un. Et ce quelqu’un choisit les matériaux qui vont donner forme à ses dessins.
Si le beau auquel nous avons été nourrit donne l'illusion d'une abondance sans fin, il crée en réalité la pénurie, la déconnexion et l'épuisement des ressources.
Le beau des créations est en train de mettre à mal la beauté du monde….
Voilà une tragédie qui ne saurait en aucun cas être celle du destin du beau.
« L’espèce humaine cause sa propre extinction car, à quelques exceptions près, la totalité du beau qu’il crée pour vivre bien et mieux est insoutenable. Ils n’ont pas pris le temps de comprendre les lois universelles du vivant pour créer de façon bio-compatible. Impossible que cette question Où est le beau ? que je nourris à l’époque depuis plus d’un an, m’amène à une impasse »
Il est devenu crucial de faire évoluer nos pratiques, d’aller au-delà des discours alarmistes et de réconcilier nos aspirations esthétiques avec une conscience écologique plus profonde.
Ma pensée
C’est ici, sur cette planète bleue, que se vit la beauté.
Celle que nous cherchons sans relâche, nous les esthètes, et qui anime le podcast Où est le beau ? depuis plus de 6 ans.
Nous vivons sur Terre et en dépit de toutes ses orbites, la NASA n’a encore rien trouvé de plus bouleversant — ni de plus confortablement habitable.
J’aime distinguer le beau des origines : le lever du soleil, les marées, les fleurs, les cascades. Ce beau qui précède tout, qui opère sans effort ni prétention. Un beau en symbiose avec la vie, qui se cache partout — dès lors que nous nous disposons à le voir. Il est, sans chercher à plaire.
À un beau des créations qui naît du geste, du savoir-faire, de l’intention humaine. Il prolonge, honore, interprète le vivant. Ou du moins, il devrait… car depuis quelques décennies, ce lien s’est distendu.
Beaucoup d’objets brillent et séduisent sans rien offrir en retour à la beauté du monde. Pire, trop souvent, ils la polluent. Silencieusement. Définitivement.
Ce que l’on croit propre est très souvent plastifié.
Ce « propre » d’apparence dissimule en réalité un désordre bien plus profond, car tout ce qui est fossile déséquilibre des cycles du système Terre, puisqu’ils persistent bien au-delà de l’échelle d’une vie humaine.
Il s’accumule dans les strates d’un monde qui ne sait plus dissoudre ce qu’il produit.
Les matériaux à empreinte fossile utilisés pour fabriquer le « beau » incarnent ce paradoxe. Ils donnent au monde des allures ultra séduisantes… un éclat trompeur qui maquille la réalité.
Ces matériaux habillent nos objets, nos architectures, nos intérieurs, jusqu’à nos gestes les plus anodins, sans que nous en ayons conscience.
Nous avons troqué l’harmonie des matières vivantes pour l’illusion d’une beauté qui pollue dès sa création.
Nous avons oublié que le beau des créations humaines est un prolongement du beau des origines :
il devrait s’inscrire dans la continuité des cycles du vivant, et non s’y soustraire. Car dans la trame du vivant, toute forme laisse une trace.
Mais seule une trace juste — c’est-à-dire une empreinte réversible, recyclable, réinscrite dans le métabolisme planétaire — peut nourrir et relier.
Créer, c’est participer à ce cycle — non pas en l’interrompant ou en l’extrayant, mais en honorant sa logique profonde : celle d’un monde où tout se transforme et rien ne se perd.
Les esthètes, ceux qui avant d’être des consommateurs sont des amoureux du vivant, du beau des origines, vivent comme moi cette désillusion en ce moment.
Le podcast :
Libérer la parole sur le beau et ses défis
De ma première vie professionnelle en tant que juriste, j’ai retenu une chose : « pour obtenir les bonnes informations, il est fondamental de poser les bonnes questions ».
Or notre système médiatique est champion du monde pour répondre excessivement bien aux mauvaises questions.
Souhaitant créer une « safe place » où libérer la parole sur le beau et ses défis : à la fois les enjeux qui entourent la matière avec laquelle on « fabrique » le beau, que ceux sur l’évolution de nos gouts face à la croissance de la conscience écologique, j’ai fondé le premier podcast indépendant francophone sur ce sujet.
C’était en janvier 2019, à l’époque où personne ne croyait au médium podcast (discussions longues sur le beau, sans aucun support d’image) comme moyen de questionner le monde du beau des créations (design, décoration, architecture).
6 ans plus tard : des centaines d’interviews, des centaines d’épisodes narratifs et des millions d’écoutes !
Jean François Clevoy • Francis Hallé • Nathalie Gontard • Olivier Hamant • Anna Chavepeyre • Joëlle Swanet • Noé Duchaufour-Lawrance • Youssef Tohmé • Gilles Clément • Julien Beller • Véronique Mure • Maurice Sauzet ont notamment longuement échangé avec moi dans le podcast.
OÙ EST LE BEAU ?
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Où est le beau ? un podcast qui explore la relation avec le beau, ses représentations concrètes et ses engendrements (culturels, sociétaux et environnementaux).
L’ambition du podcast est de remettre la question du beau au centre des discussions écologiques et ce, quelque soit les catégories sociales et les territoires.
Je souhaite transmettre, à celles et ceux qui écoutent le podcast, de changer leur rapport au beau et de le transmuter en une relation plus saine et moins destructrice pour la nature et les liens humains.
Depuis ses débuts, la ligne éditoriale du podcast a évolué comme le fait la spirale.
Elle arrive aujourd’hui à un espace fascinant. Les précédents invités ont « passer le balais » mettant en lumière les incohérences et les perversions de créer un beau ultra standardisé, toxique pour nous, polluant pour les sols et sans cycles à l’échelle d’une vie humaine, devenant à jamais des déchets ultimes.
Plus de 250 épisodes pour éclairer la mutation silencieuse de nos goûts à l’ère de la conscience écologique.
Bienvenue sur ce chemin !
OÙ EST LE BON ?
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Plus de 2 ans après le lancement de Où est le beau ? j’ai eu envie de remettre le goût et le bon au centre de notre assiette !
Parce que ce que nous mangeons, mais aussi les lieux où nous achetons, préparons et partageons nos repas, a un impact direct sur le monde agricole, sur notre environnement et sur notre bien-être.
Cette question du bon résonne d’autant plus en France, pays de la gastronomie, où le paysage lui-même est façonné par l’agriculture.
Dans ce podcast, des voix inspirantes nous aident à mieux comprendre ce qui se joue dans nos assiettes, dans nos champs… et dans nos choix.
LE TRAVEL GUIDE
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Chaque année, je teste 5 adresses dont je relate ensuite les séjours et ses bienfaits en podcast.
En ligne notamment : le Couvent de Pozzo, la Butte, l’Ostalas.
LE SOCIAL CLUB
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En parallèle des épisodes gratuits, je publie des épisodes d’un podcast secret, dédié à une communauté d’esthètes et curieux souhaitant aller plus loin dans le questionnement de leur « rapport au beau ».
Ici tu retrouveras tout ce qui est indispensable aux pressés d’entrer dans une véritable RELATION au beau et au bon.
S’abonner au podcast secret permet :
⁘ d’affiner ton œil intérieur et cultiver un discernement esthétique profondément personnel.
⁘ d’apprendre à reconnaître ce qui est véritablement beau au-delà des apparences, des tendances et des injonctions visuelles.
⁘ de savoir interroger le beau : ce qui séduit en surface ne cache-t-il pas, parfois, une forme de nocivité pour nous… et pour le vivant ?
Des clés sensibles et critiques pour naviguer avec lucidité et panache dans un monde saturé.
MES CURATIONS EN MARQUE BLANCHE
En 2024, Isabelle Castanier m’invite a sélectionner une tribu de talents pionniers pour l’exposition « Une Maison à Saint Tropez, Tables et récits intimes ».
LES RENCARDS DU BEAU
En 2022, j’initie Les Rencards du beau, en complicité avec Plendi by Vinci Construction :
des évènements dédiés et confidentiels pour les professionnels.
Sur le format de matinées apprenantes destinées aux architectes et aux acteurs du bâtiment, LRDB permettent networker tout en se mettant au contact des postures de pionniers d’un beau des créations qui questionne le monde et inspire.
Chaque résidence de 4 rencards est accueillis par une agence d’architecture parisienne différente.
L’Agence RDAI, Franklin Azzi Architecture et Chloé Nègre ont eu l’immense gentillesse d’ouvrir leurs portes pour hoster ces rendez-vous inédits.
Plus de 12 matinées ont eu lieu sur des thèmes aussi variés que :
• réduire l’exposition aux PFAS dans les hôtels et espaces ERP • assurer un bâtiment en réemploi • habiter passif • traitement de l’eau sans chlore • s’inspirer du règne fongique pour créer.
Demain plus beau, l’exposition bascule vers la philanthropie
En 2020, j’ai eu besoin de rendre tangible ma vision du beau en créant des événements qui mettent en scène ce qui existe déjà et que j’identifie comme porteur d’avenir.
« tant que nous chercherons des solutions plastiques à des problèmes systémiques, nous resterons bloqués. »
En France, il n’existait pas d’institution qui proposait de transmuter les vulnérabilités de l’ancien système (extractiviste, pétrosourcé, incompatibles avec les milieux vivants) en opportunités.
Depuis 2020, j’imagine des expositions comme des écosystèmes, en rassemblant les travaux de designers-chercheurs, scénographes et directeurs artistiques prouvant qu’un beau des créations 100% compatible avec les milieux vivants est possible !
Situé dans l’espace Commines durant Paris Design Week, cette première exposition fait éclater au grand jour un pressenti : le beau dénué d’empreinte plastique est beaucoup attirant, kinesthésique qu’un beau pétrosourcé.
Placé au coeur d’un espace comprenant 2 autres expositions, les visiteurs passent 3 fois plus de temps sur l’exposition « Demain plus beau », se penchant pour observer les détails, voulant toucher, sentir la matière…
Demain plus beau, Sept 2020, Espace Commine
Le beau dénué d’empreinte plastique est validé par la voie du corps.
J’ interprète cet accueil des visiteurs comme mon ticket pour de nouvelles aventures : celle de la voie du design soutenable (entendez qui s’intègre dans les cycles bio et géo chimiques de l’écosystème Terre).
Si le beau auquel nous avons été biberonné donne l'illusion d'une abondance sans fin, il crée en réalité la pénurie, la déconnexion et l'épuisement des ressources.
En 2021, je donne juridiquement naissance à la voie du design soutenable en créant une Association d’intérêt général qui mécène, tous les deux ans, la première grande exposition des 40 designers, artistes et créatifs pionniers porteurs de travaux sans aucune empreinte plastique.
Cette association a pour mission de diffuser les pratiques soutenables dans la création, c'est-à-dire sans pétrochimie ni polluant éternel et de vulgariser les enjeux qui les entourent.
En fédérant et orchestrant des constellations de talents dont demain aura obligatoirement besoin dans cette association, je fais aujourd’hui partie des plus jeunes philanthropes françaises à réconcilier le beau et les lois universelles du vivant.
FRUGAL, 2021
Hôtel de Coulanges
À l’origine de FRUGAL, se trouve le constat suivant : en matière de design, l’inaction s’explique, en premier lieu par l’ignorance des matériaux, techniques et savoir-faire soutenables.
Lutter contre l’ignorance était l’ambition numéro #1 de la première édition de ce qui allait devenir, en 2023, la biennale Amour Vivant.
Comment ? À travers un parcours sexy, un voyage au pays des solutions qui a été déployé en grande complicité avec Sophia Goigoux-Becker, Nicolas Deshais-Fernandez et Armelle Luton.
Ont notamment été révélé dans cette édition :
Comment faire du verre sans sable.
Comment agglomérer des bouts de quelque chose sans aucun liant pétrosourcé.
Comment faire toutes les couleurs, sauf le fluo, sans pétrole.
Réalisant que le beau au service du vivant menait tout droit à des notions d’évolution et de robustesse, je renomme Frugal en Amour Vivant.
Cette biennale porte désormais comme nom son ambition : célébrer les postures amoureuses du vivant des pionniers de la création soutenable (inventeurs, designers, designers chercheurs, artisans, architectes, chercheurs, botanistes, parfumeurs …)
AMOUR VIVANT, 2023
La Poste, Bonne Nouvelle
En 2023, rejoins par Armelle Lalo puis Marie-Cassandre Bultheel, nous avons qu’une envie : nous engager à faire sérieusement avancer la soutenabilité de notre art de vivre par le prisme des matériaux !
Dans une logique à la fois scientifique, créative et sensible, la biennale Amour Vivant montre, tous les deux ans à Paris, une sélection inédite de matériaux sans empreinte plastique pour l’architecture et le design.
À l’heure où la législation s’oriente vers une réduction massive des plastiques, visibles ou invisibles (colles, liants, vernis, traitements…), la biennale propose un cadre unique pour penser et anticiper ces mutations.
Loin d’une logique de salon commercial, rien n’est à vendre.
Je sélectionne tous les matériaux présentés après un appel à candidature et une veille poussée.
Ma curation est ensuite transmise à un comité scientifique qui valide l’absence d’empreinte plastique, ne laissant aucune place au greenwashing ni au risque réputationnel pour nos partenaires et mécènes !
Cet événement indépendant, sans but lucratif et reconnue d’intérêt général, agit comme un dispositif de vulgarisation rigoureux : à destination des prescripteurs, des décideurs, des assureurs, juristes et du grand public. Nos actions et événements sont d’ailleurs soutenus et reconnus par le Ministère de la Culture et le Ministère de la Transition Écologique.
COSMOS AND MATTER, 2024
Projet en collaboration avec Marie-Cassandre Bultheel sur un prototype d’une vie d’esthète citadin en harmonie avec les lois du vivant.
Ensemble, nous souhaitons normaliser une relation consciente à l’espace de vie.
Ce projet est l’alchimie entre deux pôles jamais réunis au sein d’un projet unique, d’une voie. Les deux sont connues est développés chacun de leur côté, avec à chaque fois des personnes ressources et référentes différentes.
Cosmos and Matter est notre proposition d’un prototype d’art de vivre tout à fait plausible, puisque si nous le souhaitons, il est déjà accessible. Nous pouvons déjà vivre un demain plus beau.
Revue de presse
MAGAZINE GESTE/S
Parution print (2025)
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ELLE DÉCO MAGAZINE
Rubrique L’Oeil d’Hélène Aguilar (2021)
TÉLÉMATIN
Interview par Sylvie Adigard
TÉLÉRAMA
Parution web (2020)